Vous aurez plus de choix au même endroit

Les particuliers qui vendent des voitures se trouvent un peu partout en France, ce qui risque de vous prendre beaucoup de temps lorsque vous déciderez de les rencontrer un à un pour voir les véhicules qu’ils vous proposent. En revanche, si vous contactez un concessionnaire, par exemple à Saint-nazaire, vous trouverez diverses automobiles neuves et d’occasion au même endroit.

Si vous préférez les modèles à boîte de vitesses manuelle, vous n’aurez qu’à comparer les alternatives sur place. Si vous voulez plutôt une voiture à boîte automatique, vous ne serez pas déçus. Plusieurs choix sont à votre disposition.

Vous aurez une voiture de meilleure qualité et plus d’options de paiement

Les particuliers ont l’habitude de se débarrasser de leurs plus vieilles automobiles. Ils vendent surtout les modèles les plus usés ou ceux qui ont le plus de problèmes. Vous pouvez également trouver de tels véhicules chez un concessionnaire. Mais il propose aussi ceux récents et presque neufs. Si vous voulez mettre la main sur une voiture en meilleur état, le mieux est de vous rapprocher de cet intermédiaire.

Quant au paiement, vous pouvez faire un prêt auprès d’un établissement financier si son prix est un peu élevé. Si votre demande est refusée par la banque, vous pouvez vous entendre avec le concessionnaire pour payer votre véhicule. Il travaille avec des institutions financières qui peuvent vous accorder des crédits. En plus, il vous propose des taux d’intérêt plutôt avantageux pour l’achat d’une voiture d’occasion.

Vous aurez plus de tranquillité

L’un des avantages d’acheter une voiture auprès d’un concessionnaire est qu’on a plus de tranquillité d’esprit après l’achat. Le fait est que cet intermédiaire respecte un code d’éthique rigoureux. Si vous avez par exemple choisi auprès de lui un véhicule d’occasion, vous pouvez être sûr que celui-ci répond aux exigences du fabricant.

Les automobiles que les concessionnaires mettent en vente ont aussi été inspectées et réparées. Concernant les garanties qu’ils offrent, elles sont prolongées. Parfois même, il vous est possible de retourner la voiture si vous n’êtes pas satisfait.

Amende en cas de défaut de plaque d’immatriculation

Si vous roulez, même sur de courts trajets, avec votre véhicule alors que celui-ci n’a pas une plaque d’immatriculation, vous vous exposez à une amende. Il s’agit d’une amende forfaitaire de 135 euros et cela ne s’applique pas uniquement à un véhicule neuf, mais même à un véhicule d’occasion, aussi vieux soit-il. Il est tout simplement interdit de rouler dans un véhicule sur lequel n’est pas apposée une plaque d’immatriculation. Si vous venez de faire l’acquisition d’un véhicule, commencez par vous occuper de la carte grise, aussi appelée certificat d’immatriculation. C’est avec ce document que vous pourrez faire faire sur plaqueimmatriculation.com votre plaque d’immatriculation. Ne cédez surtout pas à la tentation de vous servir d’une fausse plaque d’immatriculation. Ce serait encore plus grave au regard de la loi. Attention, une plaque non conforme ou illisible est aussi considérée comme un délit. Alors, faites ce qu’il faut pour être en règle. Après un long voyage ou suite à un accident de voiture, vérifiez si votre plaque n’a pas été endommagée en cours de route et faites le nécessaire dans les meilleurs délais. Le fait est que vous n’avez pas le droit de rouler à nouveau dans votre véhicule sans que votre plaque soit aux normes. Donc, l’absence de plaque d’immatriculation, une fausse déclaration de plaque, une plaque non conforme ou illisible constituent des délits qui peuvent vous coûter cher ! Soyez ainsi vigilant, car un simple problème peut vite devenir une catastrophe.

Quelles sanctions s’appliquent en cas de non-conformité ?

Si jamais vous utilisez une fausse plaque d’immatriculation, vous n’aurez pas à seulement payer une amende, vous êtes aussi passible d’une peine de prison. Plus précisément, l’amende que vous devez payer s’élève à 3 750 euros (une fortune !) et vous risquez 5 ans d’emprisonnement. Ce n’est pas tout, un tel délit vous vaudra un retrait de 6 points sur votre permis de conduire. En plus, il y aura une suspension du permis pendant 3 ans. Pour couronner le tout, votre véhicule sera confisqué par les forces de l’ordre après que vous vous soyez acquitté de l’amende. D’ailleurs, payer l’amende ne vous dispense pas de l’emprisonnement. Ces sanctions sont prévues dans l’article L.317-2 du Code de la route. Vous comprenez donc à quel point l’utilisation d’une fausse plaque d’immatriculation est à bannir complètement, c’est une très mauvaise décision.

En cas d’usurpation du numéro d’immatriculation d’un tiers, quelles sont les sanctions qui s’appliquent ? C’est encore pire que pour une fausse plaque, car vous aurez à payer 30 000 euros d’amende. C’est effectivement énorme. Évidemment, une telle sanction est surtout à but dissuasif. En plus de l’amende, c’est 7 ans de prison, un retrait de 6 points sur le permis et la suspension du permis pendant 3 ans qui attend le propriétaire du véhicule. Il est même possible que ce ne soit pas seulement une suspension, mais une annulation totale du permis avec interdiction de le repasser pendant quelques années. Mais surtout, un tel délit entraîne la confiscation définitive du véhicule, selon l’article L.317-4-1 du Code de la route.

Qu’en est-il des motos et des scooters ?

Le défaut d’immatriculation d’une moto ou d’un scooter fait entraîne aussi des sanctions. Si votre plaque d’immatriculation n’est pas conforme, c’est une contravention de 4e classe qui s’applique, c’est-à-dire 135 euros d’amende. La norme en matière de plaque d’immatriculation est le format standard de 21 x 13 cm. Votre engin pourrait être immobilisé en plus de l’amende à payer. Si votre plaque n’est pas lisible, c’est également une infraction à la loi qui vous vaudra 135 euros d’amende. Attendez-vous aussi à l’immobilisation de votre deux-roues. C’est la même somme que vous devez payer en cas de circulation avec une moto ou un scooter avec plaque d’immatriculation amovible. De quoi parle-t-on ? Si votre plaque n’est pas parfaitement apposée sur votre engin, mais seulement vissée dessus par exemple, c’est considéré comme un délit. L’immobilisation de votre deux-roues pourrait aussi être prescrite.

Autre cas de figure : si votre moto ou votre scooter, ou une remorque ne dispose pas d’une plaque bien visible (parce qu’elle est par exemple placée sur le côté latéral et non à l’arrière de votre deux roues), une amende de 135 euros s’applique, avec possibilité d’immobilisation de l’engin.

Si votre plaque n’est pas conforme et que vous en êtes conscient, réglez au plus vite le problème. Surtout, ne cherchez pas des moyens de vous soustraire à la constatation de l’infraction via un dispositif, un produit ou un appareil dédié. L’amende s’élèvera alors à 1 500 euros. En plus de cela, il y a un retrait de 6 points sur votre permis, la suspension de celui-ci et la confiscation du véhicule et du dispositif aussi, bien entendu. L’amende à payer sera la même en cas d’usage d’un support de plaque non réglementaire, par exemple posé sous la selle, incliné au-delà de 30° ou articulé. Rappelez-vous que selon l’arrêté ministériel du 15 décembre 2016, les deux-roues motorisés doivent avoir une plaque fixée avec des rivets.

Une remorque doit-elle avoir sa propre immatriculation ?

Une remorque, dont le poids total en charge est de moins de 500 kg, n’a pas besoin d’avoir sa propre carte grise. Néanmoins, elle doit avoir une plaque d’immatriculation, qui doit être identique au numéro du véhicule qui la tire. Pour les autres, le numéro d’immatriculation est impératif. Pour une remorque d’occasion, il faut se référer à son ancienne carte grise pour connaitre sa charge maximale.
Les remorques ayant un PTAC (Poids Total Autorisé en Charge) de plus de 750 kg doivent, non seulement avoir une carte grise, mais aussi être assurées. Il faut également les munir d’un système de freinage mécanique à effet inertiel. Ce système doit être remplacé par un mécanisme à commande électrique, pneumatique ou hydraulique si le poids total en charge dépasse 3500 kg.

La procédure de demande d’une carte grise pour remorque

Vous utilisez une remorque à PTAC de plus de 500 kg ? Il faut impérativement faire une demande d’immatriculation, dont les modalités sont les mêmes que pour celles d’une voiture. Pour obtenir un numéro d’immatriculation, deux choix sont possibles :
• Faire appel à un professionnel
Si vous achetez une remorque neuve, sachez que les vendeurs professionnels peuvent rapidement s’occuper de toutes les étapes pour obtenir l’immatriculation de votre véhicule.
Il est aussi possible de recourir aux services d’un professionnel agréé. Ils sont tous répertoriés sur le site officiel de l’agence nationale des titres sécurisés. Vous pouvez en trouver un près de chez vous, en faisant quelques clics. Pour effectuer la demande d’immatriculation, il faut prévoir deux documents indispensables : une pièce d’identité et une justification de domicile.
• Faire la demande en ligne
C’est la solution la plus avantageuse. En effet, des sites se sont spécialisés dans ce domaine. Ils sont faciles à prendre en main et sont ainsi très pratiques. La demande se fait en quelques clics. Une fois la demande envoyée, un mail de confirmation vous sera transmis.
Pour faire une carte grise pour votre remorque, votre demande doit comporter :
– une demande de carte grise
– l’ancien certificat de la remorque si elle est d’occasion,
– une pièce justificative de domicile
– une pièce d’identité
Une fois le dossier complet envoyé, un certificat provisoire vous sera remis. Le traitement d’une demande d’immatriculation de remorque en ligne dure, en moyenne, quelques jours.
Il est à noter que plusieurs taxes sont à prévoir, dont la taxe régionale est la plus importante. En effet, c’est elle qui détermine le prix de la certification. En général, elle est calculée en fonction du prix du cheval fiscal en vigueur dans chaque région.

Les règles de sécurité en cas de fuite d’essence

Dans le cas où vous roulez lorsque vous sentez subitement de l’essence dans la voiture, arrêtez-vous immédiatement. Coupez le contact et sortez rapidement tous les passagers. Si l’odeur se déclare alors que la voiture est au garage, pensez à aérer la pièce. Évitez de mettre le contact. Abstenez-vous d’allumer la lumière. L’interrupteur pourrait être dangereux. L’électricité statique peut occasionner une étincelle. Si l’émanation est importante, il vaut mieux tenir, une pièce métallique reliée au sol. Cela peut être un grillage ou un pilier. Les équipements électriques devront être branchés. Le téléphone portable doit être tenu à une bonne distance de la voiture. Fumer ou allumer un briquet à gaz serait un geste suicidaire si le garage empeste déjà l’essence à plein nez.

Chercher à localiser et réparer la fuite

Commencez l’inspection sous la voiture. Vérifiez qu’il n’y a pas de fuite sous le véhicule. Après le compartiment moteur, le réservoir aussi peut être endommagé. Ainsi, la vérification doit se faire à l’avant comme à l’arrière de votre auto. Ouvrez le capot et suivez le circuit de distribution. Le plus souvent, le problème vient d’une durite défaillante. Remplacez les pièces défectueuses et faites de même pour les colliers de serrage. Si le problème vient du réservoir, il faut l’enlever complètement dans un garage. Dans certains cas, il est possible de combler le trou par une soudure. Il faudra souder exactement le même métal. Plus rarement, les organes d’injection ou les pièces du carburateur peuvent être défaillants. La réparation sera à confier à un mécanicien.

Démarrer la voiture correctement

Lorsque le conducteur s’est assis sur son siège, il commence par mettre sa ceinture de sécurité. Il vérifiera que la clé est sur sa place. Il faut la tourner sur la position « Ignition » tout en appuyant sur l’embrayage et le frein. Ce sont les pédales de gauche. A ce moment, le levier de vitesse doit absolument être sur la position point mort. Lorsque la voiture a démarré, il faudra voir dans le rétroviseur si la route est bien dégagée. Puis, il faut engager la première. Le pied gauche reste sur l’embrayage tandis que le droit passe du frein à l’accélérateur. La libération progressive de l’embrayage avec une très légère accélération permettra d’avancer la voiture sans caler. Immédiatement, il faut passer en deuxième position sur le rapport de vitesse si la route reste encore dégagée.

Savoir s’arrêter comme il faut

Pour arrêter une voiture, il faut appuyer correctement sur la pédale de frein. C’est celle qui se trouve au milieu. Le talon doit être déplacé vers cette pédale pour éviter à ce que l’avant du pied appuie sur le frein et l’accélérateur en même temps. C’est souvent pour cette raison que certaines femmes préfèrent conduire les pieds nus. Avec des talons aiguilles, le freinage peut être plus délicat. L’appui devrait être assez léger au début sans directement aller à fond. Puis, il faut réduire la pression au moment où la pédale s’approche du plancher. Normalement, la vitesse et par extension le tour moteur doivent être rétrogradés. Ainsi, le pied gauche sera sur la pédale d’embrayage pendant le freinage en même temps que le conducteur descend dans les rapports. Autrement, le moteur peut directement caler.

Laver correctement les vitres

C’est le premier réflexe à adopter avant de prendre le volant. Lorsque les vitres sont bien propres, cela permet au conducteur de profiter d’une meilleure visibilité. Les salissures qui s’installent sur les vitrages créent un effet de halo gênant la vision lorsqu’elles sont reflétées par la lumière du soleil et par les phares des autres automobilistes. La formation de pellicule grasse favorise aussi l’apparition de la buée qu’il faut régulièrement nettoyer avec du produit pour vitres. Toutefois, la climatisation reste le meilleur allier pour combattre la buée.

Utiliser les essuie-glaces en bonne condition

Il est important de noter que la vision du conducteur passe avant tout à travers le pare-brise. Ainsi, cette dernière doit être propre et le plus sec que possible. Sur la route, il faut éviter l’accumulation de neige, de pluie ou de gadoue sur celle-ci. Pour cela, à tout moment, il faut toujours avoir des essuie-glaces en bonne condition pour être en mesure de nettoyer correctement les vitres avant qu’arrière. Au premier signe d’usure, les essuie-glaces doivent être remplacés. De plus, des essuies-glaces endommagés laissent des traces sur le verre du pare-brise.

Vérifier les phares

Les phares sont les meilleurs alliés de sécurité du conducteur. Avec des phares en bon état, ce dernier bénéficie d’un meilleur éclairage sur la route. Lorsqu’un phare est brûlé, il faut aussi vite que possible le changer. Par ailleurs, il convient aussi de bien ajuster les phares. En effet, ils doivent éclairer la route et non ses environs. Avec un simple réglage, il est possible de profiter d’un bon réglage des phares. En cas de doute, il ne faut pas hésiter à demander à un professionnel de le régler. Mais, lorsque les phares sont salis, cela diffracte la lumière. Pour les laver, il faut utiliser un détergent doux, car les vitrages en plastiques qui les composent sont très fragiles. À l’aide d’un chiffon propre et détrempé, on essuie délicatement les phares pour un résultat satisfaisant.

L’infraction liée à l’alcool

Lors d’une conduite en état d’ébriété, avec un taux d’alcool dans le sang entre 0,5 g/l et 0,8 g/l, le conducteur aura une amende de 135 € et 6 points seront retirés de son permis. Si le taux d’alcool dans le sang est 0,8 g/l ou plus, il devra payer 4500 € au tribunal correctionnel et 6 points seront retirés de son permis. Il pourra également être victime d’annulation de permis pendant 3 ans maximum, d’une immobilisation du véhicule ou d’une peine d’emprisonnement de 2 ans. Le refus de se soumettre au contrôle d’alcoolémie est également un délit qui peut engendrer 4500 € d’amende et 6 points de moins sur son permis.

L’infraction liée à la drogue et aux stupéfiants

La conduite sous emprise de drogues ou de stupéfiants, ainsi que le refus de se soumettre à un dépistage est un délit pouvant entraîner une amende de 4500 € et un retrait de 6 points de permis. Le conducteur peut aussi subir une immobilisation du véhicule, une annulation de permis pouvant aller jusqu’à 3 ans et une peine d’emprisonnement jusqu’à 2 ans. Enfin, la conduite en état d’ivresse avec un usage de stupéfiants peut entraîner une amende de 9 000 € avec 6 points de moins sur le permis et 3 ans de suspension ou annulation. Le conducteur peut aussi écoper une peine de prison jusqu’à 4 ans et une immobilisation ou confiscation du véhicule.

Récupérer ses points de permis

Vous avez eu une amende et des points retirés. Vous avez pu payer l’amende, mais vous vous demandez comment retrouver vos points perdus. Sachez que si vous suivez un stage de récupération (une session de sensibilisation à la sécurité routière) avec www.stagespointspermis.fr, votre permis regagnera à nouveau 4 points supplémentaires. Mais attention, ce n’est pas la seule manière de récupérer des points de permis. Si vous ne faites pas d’infraction dans un délai précis, vous pouvez regagner vos points. Alors, respectez à la lettre le code de la route. C’est essentiel pour votre sécurité et celle des autres.

Le contrôle périodique pour la sécurité routière

Il est impératif de réaliser un contrôle technique tous les 2 ans pour les voitures de plus de 4 ans pour vérifier son état. Le but du contrôle est de suggérer au propriétaire les réparations et les changements de pièces à réaliser afin de maintenir la voiture en bon état. Le parc automobile dans son ensemble étant préservé en bon état, la sécurité des usagers de la route est optimisée (conducteurs et passagers). Grâce au visite et à la contre-visite, l’Etat assainit le parc automobile, interdisant les véhicules défaillants de circuler. Un contrôle non mis à jour entraîne l’immobilisation de votre voiture par les forces de Police. Sachant que payer son contrôle technique pas cher est aujourd’hui possible, les forces de l’ordre ne peuvent qu’être très stricts sur le respect de la loi.

Le contrôle technique pour vendre votre voiture

Si vous envisagez de vendre votre véhicule, le contrôle technique doit être fait. Même si le contrôle technique est déjà à jour, vous devez le faire refaire. En effet, le contrôle technique est obligatoire sauf si vous vendez votre véhicule à un garage ou un concessionnaire puisqu’ils peuvent vérifier eux-mêmes l’état de celui-ci. Ce contrôle permet à l’acheteur d’avoir une vision transparente sur l’état de la voiture dans tous ses détails.

Le contrôle technique pour vous protéger

Si vous partez en voyage, il est important de faire d’abord un contrôle technique. Certes, ce n’est pas obligatoire, mais c’est dans votre propre intérêt. En effet, avec les 124 points vérifiés lors du contrôle technique, vous aurez l’assurance de passer un voyage tranquille, à l’abri des désagréments comme une panne au milieu de nulle part sans la moindre ville en vue.

Nécessité de gonflage des pneus

Il se peut que les pneus se dégonflent par eux-mêmes, même sans rouler pendant un certain temps. Il est toujours impératif de veiller au gonflage des pneus pour éviter l’usure précoce. Avant de faire un long voyage, le contrôle du gonflage du pneu s’avère obligatoire, sans oublier les roues de secours. C’est une action très simple, facile pour tout conducteur. A l’inverse de ces opérations, le pneu sous-gonflé accroit la distance de freinage, perd en adhérence et réduit la maitrise du véhicule, et ainsi, augmente la consommation du carburant. Pour mesurer la pression des pneus, il est recommandé de la faire sur des pneus froids. Le sur gonflage réduit le contact du pneu avec le sol et l’usure de la bande de roulement devient très précoce.

Les facteurs responsables de l’usure des pneus

Les pneus aussi connaissent une usure à cause du défaut du parallélisme, d’une mauvaise route, une mauvaise conduite du conducteur, ou un mauvais gonflage … la négligence de la vérification de l’équilibrage et du parallélisme des roues entrainent l’usure des pneus. Le changement du pneu est nécessaire lorsque l’hauteur de celui-ci arrive à dépasser l’épaisseur des blocs de gommes situées dans les pneus. Il arrive où des craquelures se ressentent au niveau des pneus, tout de suite faire vérifier l’équilibrage et le parallélisme pour éviter les dégâts qui pourrait arriver. Un pneu qui roule toujours sur des longs trajets présente une usure très précoce et doit être changé tous les mois.

Bien détecter l’usure des freins

Les freins peuvent vite s’user selon l’intensité de l’utilisation de votre voiture. Ils transforment en chaleur la vitesse de votre voiture et en chauffant, ils s’abîment. Voici les différents symptômes d’usure que vous pouvez observer chez vos freins. Lorsque la pédale est dure et qu’il faut fournir beaucoup d’effort pour actionner le freinage. Ceci peut être dû par l’usure des garnitures ou des plaquettes ou par une fuite de liquide de rein. Lorsque les freins avant grognent, ceci peut être causé par l’usure de la plaquette avant jusqu’à la tôle. Lorsque la pédale mollit doucement, votre voiture souffre peut-être d’une fuite du liquide hydraulique ou de la présence d’air dans le système hydraulique. Quand le véhicule tire d’un côté lors du freinage, c’est qu’il y a une usure inégale entre les plaquettes ou les garnitures. L’étrier ou le cylindre de roue peut être grippée ou les plaquettes et/ou les garnitures sont salies par du liquide de freins. Enfin, lorsque vous sentiez des vibrations au niveau des pédales, le disque ou le tambour est défectueux.

Les vérifications régulières à effectuer

N’attendez pas de déceler une défaillance avant de réparer vos freins. Faites-les contrôler régulièrement auprès d’un professionnel. En général, il faut vérifier le liquide de freins tous les 10 000 km, les disques de freins tous les 20 000 km et la garniture de freins à tambour tous les 60 000 km. Les plaquettes de freins avant comme arrière sont à remplacer tous les 30 000 km. Le circuit de freinage en général est à vidanger tous les 2 ans ou les 60 000 km.